Rien qu’en Wallonie, on compte 239 postes de boucher à pourvoir, alors que le nombre d’étudiants dans cette filière ne cesse de diminuer. Une pénurie à laquelle la migration pourrait répondre.
Photo : Marie-Flore Pirmez (CC BY NC ND)
Parmi les 72 métiers en pénurie listés par le FOREM, on retrouve celui de boucher. À la Maison Lanssens, une boucherie bruxelloise, les patrons ont été jusqu’en Roumanie pour trouver un ouvrier qualifié. La migration est donc, peut-être, une des solutions pour combler le manque de main d’oeuvre dans certains corps de métier.