Plongée au cœur des centres de formation de football et de leurs limites.
Photo homepage : user6624752 (Freepik, CC BY NC SA)
S’il y a bien un métier qui fait rêver beaucoup d’enfants, c’est celui de footballeur professionnel. Le prestige, la concrétisation d’un rêve, les salaires : les exemples fournis par ces champions sont omniprésents dans les médias et appellent un nombre croissant de jeunes à marcher dans leurs pas. De ces idoles, les fans de foot savent tout. Sauf le fait qu’ils ne représentent qu’une extrême minorité : celle qui a réussi à devenir joueur professionnel.
Les autres, ceux qui ont aussi dédié toute leur jeunesse au football mais qui n’ont pas réussi à s’imposer au haut niveau, personne n’en parle. Passés par les académies des clubs professionnels, ils ont été jugés insuffisants par leurs formateurs ou ont joué de malchance. Dans ce milieu qui ne laisse que peu de place pour les sentiments, seuls les meilleurs sont conservés.
Se pose alors la question du sort de ces jeunes mis de côté, souvent déboussolés après avoir touché leur rêve du bout des doigts. Que faire lorsque les études ont été mises de côté ? Sont-ils soutenus par les clubs ? La responsabilité de les accompagner sur le chemin de la réinsertion est assez floue et pourtant cruciale.
L’Usine à Rêve est un documentaire vidéo réalisé dans le cadre du mémoire médiatique présenté en deuxième année de master en presse et information à l’IHECS.
Nous – Antoine, Thibaut, Igor, Scott et Lucas – souhaitons remercier toutes les personnes qui ont accepté de nous confier leurs histoires et leurs expertises. Les joueurs, Antoni Filée, Halim Timassi, Gaëtan Gall, Thomas Leclef, Lucas Limbourg et ses parents, Nicolas Lemaire ; les membres du staff des clubs, Jean Kindermans (RSCA), Alain Decuyper (RCSC), Gaetan Englebert (RFCL) ; les experts, Manuel Dupuis, psychologue du sport, Thierry Zintz (UCL) ; le personnel de l’ACFF, Thierry Siquet, Kevin Nicaise, ainsi que toutes les autres personnes qui nous ont aidés de près ou de loin à la réalisation de ce documentaire.
Nous aimerions également remercier l’équipe encadrante sans qui ce projet n’aurait pu se faire – Esther Durin, Damien Van Achter, Nordine Nabili, Amandine Degand, Nora de Marneffe, Gaetan Gras, Florence Gabriel, et tout particulièrement, Benjamin Deceuninck et Guillaume Gautier pour leur accompagnement et leurs bons conseils.
Ainsi que nos crowdfunders
Laura AMOROSI, Pablo BARAZA, Thomas BECOUART, famille BEGHIN, Nicole BEGHIN, Quentin BONNET, Katia BOSMAN, Laurence BOSMAN, Soumaya BOUCHAT, Murielle BRISBOIS, Nadine BRISBOIS, Luana CAOUIAS, Miguel CLARACO PÉREZ, Christophe DEBRUS, Daniel DECROUPET, Benoît DONCK, Pauline DONCK, Stéphanie FLAMAXHE, Ariane CIELEN, Françoise GLINNE, Pascal GLINNE, Anne GODEFROID, Michèle GRAMBRAS, Marie-France HANON, Sylvain HEYTERS, Alexandre KERSTEN, Rémi LAMBILLOTTE, Apolline LEGROS COLLARD, Maxime LORETTE, Simon MASSET, Pierre MEYER, Jeanne-Marie NISSEN, Arthur PARZYSZ, Olivier RENARD, Sylvie SANTIN, Florent SCHAUSS, Carine STEVAUX, Jérémie WALD, John WALD.