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L'enseignement secondaire en Belgique francophone force les élèves à faire un choix d'option dès la troisième année. Un choix qui pour beaucoup de jeunes rime avec pression parentale et sociale.

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L’enseignement secondaire en Belgique francophone force les élèves à faire un choix d’option dès la troisième année. Un choix qui pour beaucoup de jeunes rime avec pression parentale et sociale.

A travers des témoignages, des échos et des études sérieuses, nous avons remarqué que l’enseignement secondaire francophone belge est marqué par une hiérarchie entre les différentes filières qui le constituent. Les options de l’enseignement général, qui mènent habituellement aux études, sont mises sur un piédestal. Délaissant ainsi les filières techniques et professionnelles au rang de « voie de garage » ou même de « filières poubelles. »

Face à ce constat, nous avons décidé d’aller à la rencontre de jeunes, concernés par cette hiérarchie, marquante pour leur parcours scolaire. A la rencontre de ceux qui se retrouvent face au choix d’option qui s’offre à eux à la fin de la deuxième secondaire et qui s’avère souvent déterminant pour le reste de leur parcours scolaire, voire au-delà. Ainsi que de ceux qui ont été directement affectés par cette vision de l’école qui aura défini un parcours scolaire qu’ils n’auraient pas envisagé de cette façon. Tout ça pour mieux comprendre les enjeux de cette hiérarchie qui a défini et continue de définir le parcours de nombreux élèves de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

Avec ce choix, qui pour beaucoup est déjà biaisé d’une pression sociale, parentale et sociétale, la question est de savoir comment les élèves qui veulent se diriger vers des filières plus techniques, manuelles, pratiques vivent cette vision de ce monde si particulier qu’est l’école.

Certains experts en la matière nous ont permis de comprendre et de mettre en lumière un phénomène beaucoup plus complexe et plus présent qu’il n’y paraît. Des sociologues, psychologues, philosophes ou encore directrices d’écoles nous ont éclairés sur le sujet. L’ensemble de ces intervenants et nos recherches sur cette thématique nous ont permis de réaliser un documentaire de 26 minutes que nous avons le plaisir de vous le partager dès à présent.

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