Coutelier : du bout de métal au couteau

« Le plus compliqué, c’est d’arriver à ce que les mains fassent ce que la tête veut. » Passionné depuis son plus jeune âge par les couteaux, Pierre a créé son propre atelier. Lorsqu’il a le temps, il y exerce sa passion, la coutellerie.

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Photo : Alisée Pichon (CCBY NC SA)

« Le plus compliqué, c’est d’arriver à ce que les mains fassent ce que la tête veut. » Passionné depuis son plus jeune âge par les couteaux, Pierre a créé son propre atelier. Lorsqu’il a le temps, il y exerce sa passion, la coutellerie.

Photo : Alisée Pichon (CCBY NC SA)

Il y a plus de 10 ans, l’artisan a transformé sa grange pour y installer ses différents outils et machines. Avec tout ce qu’il peut récupérer à gauche et à droite, Pierre crée ses couteaux. La récupération des matériaux constitue la base du métier. Sans tout cela, le coutelier ne pourrait pas exercer sa passion. Les matières premières, les consommables comme le gaz, les abrasifs et les machines ont un coût élevé. Entre transmission et formation, il arrive à façonner une dizaine de couteaux par an. Immersion dans la vie d’un coutelier, un métier oublié.

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