Désobéir pour agir

Des suffragettes à Martin Luther King en passant par Rosa Parks ou Ghandi : l'histoire est jalonnée d'actions de désobéissance civile. Si certain·es y voient une forme de protestation nécessaire pour faire avancer les droits humains, d'autres craignent qu'elle déstabilise la démocratie et conduise à des violences.

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Des suffragettes à Martin Luther King en passant par Rosa Parks ou Ghandi : l’histoire est jalonnée d’actions de désobéissance civile. Si certain·es y voient une forme de protestation nécessaire pour faire avancer les droits humains, d’autres craignent qu’elle déstabilise la démocratie et conduise à des violences.

Faire de la désobéissance civile, c’est refuser de manière assumée et publique d’obéir à une loi, à un règlement, à une organisation ou encore à un pouvoir en place. Les activistes de la désobéissance civile sont donc ces personnes qui ont pris la décision de désobéir aux lois pour défendre une cause qui leur tient à cœur. Ils et elles sont conscient·es des risques encourus.

Mais alors, quelles sont les raisons éthiques, morales et politiques qui poussent ces activistes à franchir la ligne rouge ? Et surtout, la désobéissance civile est-elle une voie vers plus de justice sociale ou un danger pour la démocratie ?

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