Paul Watson, un éco-terroriste ?

Quand l'Europe rechigne à protéger les activistes environnementaux

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©Unsplash - Christian Lue / Saroj Bhandari

Quand l’Europe rechigne à protéger les activistes environnementaux

©Unsplash – Christian Lue / Saroj Bhandari

La justice danoise a rendu son verdict ce matin en libérant Paul Watson de sa détention. Il ne sera donc pas extradé vers le Japon. Cela faisait cinq mois que le célèbre défenseur des océans était incarcéré à Nuuk au Danemark en attente de cette décision. Ce qui lui était reproché ? Protéger la biodiversité marine et militer contre l’industrie de la chasse des grands cétacés dans les eaux internationales. Mais les réels chefs d’accusations portés par le Japon le désignaient en tant qu’un « éco-terroriste ».

Nuuk se situant à plus de 3515 kilomètres de Bruxelles, peu nombreuses sont les voix qui se sont élevées au sein des institutions européennes pour défendre la cause de Paul Watson. Qu’en est-il de cette tendance à criminaliser les activistes ? Quel est le soutien européen à ces derniers qui se battent au péril de leurs libertés et parfois, de leurs vies, pour la défense des causes communes ? 

Cliquez ici ou sur l’image ci-dessous pour découvrir notre article long format intitulé : « La politique écologique de l’Union européenne, quand les intérêts politiques et écologiques s’entrechoquent ».

©Unsplash – Guillaume Périgois

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