Finir ses études supérieures devrait être synonyme de nouveau départ. Sauf quand le marché de l’emploi est au ralenti et que les candidatures restent lettre morte.
Alexandre Perniaux, Arthur Parzysz (CC BY NC ND)
Martin et François ont tous les deux été diplômés en septembre 2020. L’un détient un master en économie, l’autre en gestion. Deux diplômes qu’ils considéraient suffisants pour acquérir un emploi rapidement. Mais crise économique et sanitaire oblige, leurs sollicitations restent lettre morte, comme pour beaucoup d’autres jeunes diplômés de leur âge. Une réalité confirmée par Actiris, l’organisme régional chargé de la politique de l’emploi à Bruxelles.