Deux années après le début de la pandémie de covid, on constate à quel point cet événement mondial a été générateur d’innovation digitale. Loisirs, santé, industrie, médias, éducation,“new ways of working” et bien d’autres : l’accélération de la numérisation des services n’a pas épargné le monde de la culture, ses métiers et la manière dont notre relation à la création artistique et au patrimoine évolue.
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Pour aller au-delà de la “hype” et questionner les innovations à l’œuvre (outre digitale: l’innovation des usages) les étudiant.es de master 2 ASCEP et les master 1 en design d’innovation sociale de l’ESA Saint-Luc inscrit.es au cours ASCEP de “théorie appliquée de la médiation culturelle” sont allé.es à la rencontre un trimestre durant, d’institutions et d’organisations culturelles, de porteurs et porteuses de projets citoyens, d’artiste ou d’entrepreneurs et entrepreneuses culturelles qui réinventent les pratiques grâce à une palette d’outils numériques qui se démocratisent.
Tels des anthropologues de la médiation culturelle, les étudiant.es sont allé.es au contact du terrain pour comprendre comment les professionnel.le.s se saisissent de ces nouveaux outils, comment le numérique impacte notre rapport à la culture et l’action de la démocratiser, pour faire vivre les droits culturels dans l’ère numérique, à l’intersection de la démocratisation de la culture et de la démocratie culturelle.