Mieux s’orienter pour moins les surcharger
Près d’un Belge sur cinq fréquente les urgences chaque année. Bien souvent pour des cas non-graves, contribuant à la saturation des services hospitaliers. Témoignage de deux professionnels.
« Les passages non-urgents sont chronophages : expliquer les suites, orienter ou rassurer impacte notre activité clinique. Pendant ce temps, d’autres patients attendent, ce qui aggrave la stagnation et les délais aux urgences », confie Arthur Petitjean, urgentiste au CHU Grenoble.
En Belgique aussi, les urgences sont souvent saturées. Elles accueillent de nombreux patients pour des problèmes mineurs. Les urgentistes du CHU Saint-Pierre à Bruxelles témoignent et alertent sur les défis que cela représente pour leur mission première : traiter les cas graves.
Des alternatives existent. On vous les présente.
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